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RDC : l'Église mène la contestation, l'opposition à la peine


RDC : l'Église mène la contestation, l'opposition à la peine
Abbot Donatiuen N'shole, Archbishop Marcel Utembi, et d'autres évêques catholiques le 1er janvier 2017 à Kinshasa, le lendemain de la signature de l'accord de la Saint-Sylvestre. | PHOTO: JUNIOR KANNAH/AFP
Devant l'impuissance de plus en plus palpable de l'opposition politique, les milieux catholiques montent au créneau pour mener la contestation face à Joseph Kabila.
 
Les marches anti-Kabila organisées dimanche dans les principales villes du pays par le comité laïc de coordination (CLC), une organisation proche de l'Église catholique, ont été réprimées dans le sang, faisant au moins 6 morts et 63 blessés, selon le bilan de la mission de l'ONU dans le pays (Monusco). Il s'agit, pour les organisateurs, de maintenir la pression pour que la RDC mette fermement le cap sur l'élection présidentielle et que le président Joseph Kabila, hors mandat depuis décembre 2016, dise clairement qu'il respectera la Constitution qui lui interdit d'être candidat à sa propre succession.
 
« Il nous faut plus de pression diplomatique. Il est temps de comprendre que Joseph Kabila n'entend pas organiser les élections, encore moins un transfert pacifique du pouvoir. Il veut y rester par la force des armes. Il faut l'en empêcher maintenant. Sinon, nous aurons un chaos indescriptible, non seulement en RDC, mais aussi dans la sous-région », a affirmé Thierry Nlandu, membre du CLC.
 
Le bilan aurait pu être beaucoup plus lourd, si les forces onusiennes ne s'étaient pas interposées par endroits, à Kinshasa, entre manifestants et éléments de la police et de l'armée congolaises. Plusieurs dizaines de personnes ont été arrêtées (118, selon la Monusco), dont des prêtres, par des policiers à cran et prêts à dégainer à la moindre contrariété. À la veille de ces manifestations, Internet avait été coupé. Des barrages routiers avaient été érigés dans la capitale où des embouteillages monstres s'étaient formés sur les principaux axes. Des policiers fouillaient les véhicules, provoquant la colère de nombre d'automobilistes qui ne comprenaient pas le sens de cette opération destinée, officiellement, à « récupérer des armes ». « La démarche du CLC est superfétatoire et ne présente aucun intérêt », a martelé André-Alain Atundu, porte-parole de la majorité présidentielle et ancien proche collaborateur du président Mobutu Sese Seko.
 
Malgré tout, les marches se succèdent à un rythme effréné en RDC. Et le scénario semble bien rôdé par le pouvoir : une répression féroce qui se solde par des morts d'un côté, une vague promesse d'une enquête pour « établir toutes les responsabilités » de l'autre. Promesse qui va mourir dans le cimetière des nombreux engagements que les autorités congolaises ne tiennent pas. L'usage excessif de la force par des policiers et des soldats ne gêne pas le gouvernement dirigé pourtant par un transfuge de fraîche date de l'opposition. « Certains de nos observateurs ont été pris à partie. Ils étaient en train de faire leur travail. On les a bousculés et menacés à La Gombé et à Lemba, deux quartiers de Kinshasa », a déclaré Florence Marchal, porte-parole de la Monusco.
 
L'Église en première ligne
 
L'Église catholique et tous ceux qui en sont proches ont pris l'initiative de la fronde, éclipsant les partis d'opposition réduits momentanément au rôle de suiveurs du mot d'ordre de chefs religieux, relayé par des croyants ici et là. Les responsables du CLC vivent dans un endroit tenu secret depuis les manifestations pacifiques du 31 décembre, violemment dispersées par les forces de l'ordre qui n'avaient pas hésité à entrer dans les paroisses, pendant la messe, usant de gaz lacrymogènes, de matraques et de balles réelles. Pendant et après la prière, dans une grande confusion, des fidèles avaient été dépouillés de leurs téléphones portables et délestés de quelques billets de banque par des policiers sur les dents et lourdement armés.
 
En appelant à une série de manifestations, le CLC s'est engouffré dans la brèche ouverte par l'Église catholique qui s'exprime librement sur la situation politique, sans ménager le pouvoir en place. Les mouvements citoyens qui foisonnent dans le pays sont sur la même longueur d'onde. L'archevêque de Kinshasa, le cardinal Laurent Monsengwo, a appelé le peuple congolais à « prendre son destin en main » et qualifié de « médiocre » l'équipe dirigeante de RDC. Mgr Monsengwo, connu pour son franc-parler, est une personnalité respectée et écoutée dans ce pays majoritairement catholique. D'ailleurs, l'Église catholique, très implantée dans toutes les 26 provinces, supplée parfois aux insuffisances de l'État.
 
Le clergé a réussi un grand coup en s'attirant les sympathies d'une frange des protestants qui se tiennent habituellement à l'écart des revendications politiques. Le pasteur François-David Ekofo a, en effet, froissé les tenants du pouvoir lors d'une messe organisée en leur présence le 17 janvier, à la mémoire de l'ancien président Laurent-Désiré Kabila, assassiné 16 ans plus tôt. Le pasteur a indiqué, durant sa prédication, que la RDC est devenue « faible ». Après avoir dressé un tableau peu reluisant de la situation, François-David Ekofo a exhorté les autorités actuelles à « passer le relais ».
 
Des extraits de son intervention ont fait sensation sur les réseaux sociaux : on pouvait y voir notamment le Premier ministre Bruno Tshibala ; Olive Lembe, l'épouse du président Joseph Kabila, ainsi que Henri Mova, le secrétaire général du parti au pouvoir, le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), manifestement embarrassés par le gros pavé jeté dans la mare par cet homme de Dieu jusque-là inconnu du grand public.
 
Des voix se sont élevées au sein des communautés musulmanes pour encourager les manifestants anti-Kabila à ne pas baisser les bras. Des responsables d'Églises dites de réveil, qui comptent un nombre non négligeable d'adeptes au Congo, se sont également prononcés en faveur des manifestations.
 
L'opposition à la peine
 
Si les chefs religieux sont audibles, l'opposition, de son côté, a du mal à mobiliser depuis le décès à Bruxelles, en février 2017, d'Étienne Tshisekedi, le dirigeant historique de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS). Étienne Tshisekedi, qui avait fait son apparition sur la scène politique quelques semaines après l'indépendance, était un tribun doublé d'un fin, constant et courageux stratège, capable de drainer des foules considérables lors de ses meetings à Kinshasa où il était généralement perçu comme un homme intègre, doté de solides convictions et de principes. Il passa le plus clair de son parcours politique dans l'opposition. Il avait occupé quelques fonctions ministérielles avant de prendre ses distances avec l'ex-président Mobutu Sese Seko, renversé en 1997 par Laurent-Désiré Kabila, appuyé par des troupes rwandaises et ougandaises. Opposant, Étienne Tshisekedi l'était resté sous les présidences de Laurent-Désiré Kabila (1997-2001) et de son fils (depuis 2001).
 
Le chant du cygne d'Étienne Tshisekedi fut la signature, le 31 décembre 2016, de l'accord dit de la Saint-Sylvestre, entre le camp présidentiel, l'opposition – dont il fut l'autorité morale – et la société civile, sous la médiation de la Conférence épiscopale nationale du Congo. Cet accord, arraché in extremis, à l'issue de longues semaines de laborieuses négociations qui avaient failli capoter, prévoyait, pour l'essentiel, la tenue de l'élection présidentielle au bout d'une année au plus tard et le maintien, en l'état, de la Constitution, laquelle n'autorise pas Joseph Kabila à briguer un autre mandat.
 
Pourtant, Joseph Kabila semble multiplier les subterfuges pour rester le plus longtemps aux manettes, après une série de reports de l'élection présidentielle. Malgré les demandes formulées plusieurs fois par de nombreux Congolais, Joseph Kabila se refuse jusqu'ici à déclarer sans ambiguïté qu'il compte laisser le fauteuil présidentiel.
 
L'accord de la Saint-Sylvestre prévoit aussi des mesures de décrispation qui n'ont pas encore été mises en œuvre, notamment la libération des détenus politiques et l'accès équitable de toutes les tendances politiques aux médias publics, devenus le porte-voix de la majorité présidentielle.
 
Recherche leader charismatique désespérément
 
La disparition d'Étienne Tshisekedi a été un coup dur pour l'opposition qui est à la recherche d'une nouvelle figure emblématique. Ce qui semble avoir donné des ailes aux faucons du régime, lesquels ne semblent plus pressés de mettre en application l'accord qui débouchera inévitablement sur une redistribution de cartes sur l'échiquier politique.
 
L'opposition, fragilisée par des débauchages et le dédoublement de ses formations orchestrés à coups de billets de banque et de promesses de postes lucratifs, est en quête de dirigeants capables de fédérer ses différentes tendances autour d'un objectif commun : la tenue, dans la transparence, d'une présidentielle crédible, qui ne donnerait pas lieu à un nouveau cycle de violences – à la différence des scrutins de 2006 et de 2011 dont les résultats officiels ont été contestés.
 
Trois personnalités semblent se mettre en évidence dans cette opposition en panne de stratégies : Félix Tshisekedi, Moïse Katumbi et Vital Kamerhe.
 
Félix Tshisekedi doit se faire un prénom. Quoi qu'il fasse, il sera jugé à l'aune des qualités de son père qui a marqué la vie politique du pays depuis l'indépendance. Pour l'heure, Félix, qui a un poids politique incontestable, peaufine son image, voyage beaucoup et organise des réunions. Un signe qui ne trompe pas : des diplomates en poste à Kinshasa se rendent régulièrement à son bureau. Toutefois, le mystère reste entier sur son programme économique – si tant est qu'il en ait un. Les mauvaises langues lui reprochent, avec une pointe d'exagération, son « manque de courage », l'accusant de s'arranger pour ne pas prendre part aux manifestations qu'il initie. L'UDPS, qui s'attelle à sa réorganisation interne est à la recherche d'un second souffle, pour sortir de l'atonie et se relancer, après la perte de son chef charismatique.
 
Moïse Katumbi, candidat déclaré à la prochaine élection présidentielle, peine, lui aussi, à mobiliser. Naguère gouverneur de l'ex-province minière du Katanga (sud-est) et actuellement en exil, Moïse Katumbi est un richissime homme d'affaires et un homme de réseaux, sous le coup d'une condamnation dans une affaire immobilière. Ses démêlés avec la justice congolaise, dont l'indépendance est sujette à caution, risquent d'enterrer définitivement ses ambitions. Néanmoins, « Moïse » – comme on l'appelle communément – reste populaire. Un bénéfice qu'il tire en partie des nombreux trophées que le TP Mazembe, le club de football le plus titré du pays, a gagnés sur le plan national et à l'échelle du continent, depuis qu'il en a pris la présidence en 1997. Ses détracteurs se focalisent sur son passé de pilier du « système », pour émettre des doutes sur la sincérité de son combat politique qui ne semble pas ébranler Joseph Kabila jusqu'ici.
 
Vital Kamerhe, dont le capital-confiance a été entamé par ses incessantes allées et venues entre le camp présidentiel et le front anti-Kabila, semble en retrait. L'Union pour la nation congolaise (UNC) qu'il dirige s'est dévitalisé, après le départ de quelques hauts responsables, au motif que la ligne du parti n'est pas claire.
 
D'ici à la tenue de l'élection présidentielle, prévue, sur le papier, le 23 décembre 2018, bien malin est celui qui peut deviner le futur rôle des forces religieuses pendant cette période. L'émergence de nouvelles figures de l'opposition est attendue. Dans toutes ses formations sommeillent des jeunes loups aux dents longues qui pourraient se manifester le moment venu et faire rêver des électeurs congolais qui, globalement, ont une mauvaise opinion de leur classe politique plus encline à courir derrière des postes ministériels qu'à produire des idées au service du redressement de la RDC.

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